Journée en soleil!!! [PV Flocon de Neige]

Et le jour se lève...
Dans ce beau levé de soleil, face à cette vaste étendu d'eau, le soleil vint heurté les poils des êtres qui ouvrent leur paupière. Tout est très calme, profitant de cette instant de pure merveille comme si le temps venait de s'arrêter. Le temps insoupçonné avance quand même, laissant alors les incrédules sur le qui vif sans avoir vraiment l'occasion d'assez profité du spectacle.

-Magnifique

Ce sont les mots majestueux qui sortait de la bouche de quelque chose qui était percher dans un arbre. La brise légère se glissant entre les arbres laissait au paysage le doux sons du feuillage. Journée parfaite ou plutôt amorce d'un jour merveilleux qui s'installait dans la tête de la petite chatte. Après quelque petit étirement matinaux, une petite chatte grisonnante vint à descendre d'une branche assez haute, pour amortir son saut sous le sable chaud de la plage. Comme le sable peu être si doux quand les humains en n'ont pas toucher la moindre particule... Regardant à gauche et à droite, la chatte avança lentement vers l'eau, comme si le temps pour s'y rendre n'était pas vraiment important. Elle respirait le calme, sous ses pas élégants, cette chatte n'aurait pas la malchance de déplaire au premier regard. C'était plutôt cette énigmatique vu, son visage remplis de bien qui aurait pus porté une autre chat à lui adressé la parole. C'est enfin quelle fût rendu à destination pour laissé ses pattes trempé l'eau à la prochaine vague. Froide était-elle, l'eau fit frémir Pelage jusqu'à la colonne vertébrale. Elle se recula aussitôt et commença lentement à léché sa patte plein d'eau, comme quoi, elle ne devait pas vraiment aller dans l'eau pour s'y abreuvé. Pendant quelque seconde, elle s'y donna à coeur joua jusqu'à déposé sa patte sur le sol.

Flocon avait réussi à fuir, car Fleur des Saules s'était assoupi pendant son tour de garde. Elle avait un mois maintenant, et ce qu'elle détestait par dessus tout, c'était d'être enfermée dans la pouponnière ! Les autres petits étaient bien sages et attendaient leur maman sans broncher, mais la pauvre petite Flocon, dépourvue de parents, s'ennuyait beaucoup dans la tanière. Etoile Cendrée avait beau venir chaque jour une demi heure pour la nourrir, lui offrant quelques morceaux de souris, le reste du temps, elle s'ennuyait beaucoup. Quelle ne fut pas sa joie, alors, pensez vous, lorsqu'elle vit la pauvre femelle de garde endormie ! Sautant sur l'occasion en or de pouvoir s'amuser, elle avait quitté la pouponnière à pas de loups. Elle avait failli se faire prendre dehors, dans le camp, non loin du promontoire, mais elle avait esquivé les regards, et au bout de cinq minutes elle fut carrément en dehors du camp. Il faut dire, le petit trou n'avait toujours pas été réparé près de la Pouponnière, alors vu sa petite taille, elle s'y était faufilée sans problèmes.

C'est donc libre comme l'air qu'elle se promenait pendant une longue heure dans la foret qui bordait le territoire du Tonnerre. Sans peur, elle franchit les limite entre le territoire où elle avait ses seuls repères, pour entrer dans celui, sans odeur, des solitaires. Trottinant fièrement, ne se doutant pas du danger, elle avait cherché de quoi s'amuser, et c'est la poursuite d'une sauterelle bien trop rapide qui l'avait amenée jusqu'à la plage. Là, elle avait perdu sa trace, et s'était amusée à vouloir attrapper entre ses pattes des puces de sable, sans beaucoup de succès. D'humeur joviale, elle avait à peine remarqué la chatte non loin d'elle. Pourtant, lorsque cette dernière s'approcha de l'eau, Flocon de Neige frémit et s'approcha doucement. L'inconnue se lécha la patte, après s'être éloignée, à l'abri des vagues. S'asseyant dans son dos, elle décida de l'imiter. Sous ses pattes elle sentait le sable humide qui mouillait ses coussinets. Amenant sa patte à son museau, elle la lécha, une fois, avant de grimacer grandement.

"Beurk !"

Clignant des yeux de dégout, elle toussa et cracha pour enlever le gout exécrable sur sa pauvre petite langue. La leçon du jour : l'eau salée, c'est dégueu.

Soudain, tournant la tête légèrement vers l'eau, elle remarqua une petite boule de poil faire comme elle l'avait fait avant. Souriant, elle ne dit rien, observant ses moindres gestes. Le mot "Beurk" fit alors rire la chatte qui s'approcha lentement de la petite.

*Petite pour être seul ici?*

Pelage du destin, rondit son dos et recula de quelque pas pour ne pas être mouiller par la vague. Elle pencha sa tête et la prit par la gueule pour ne pas quelle soit emporté par les vagues. C'était moindre la seul chose quelle n'espérait pas confronté aujourd'hui. Elle avança de quelque pas sur la plage et déposa la petite lentement sur le sol pour ne pas la brusqué.

-Salut

Dit-elle d'un ton amicale, telle un mère, Pelage du Destin se rassit enfin.

-Tu es seul dit moi?

Pourquoi une chatonne avait prit la chance de s'aventurer dans un telle territoire et seul? Pelage se mordit les lèvres de ne pas faire de grand discours à cette petite sur sa condition actuel. Comme la leçon l'exigeait, elle voulait lui apprendre d'un autre manière, sans utilisé les mots. Surement cette petite avait eu nombre d'avertissement sur ses fugues, sinon, comment, jeune comme elle est aurait-elle pus survivre face au danger des terres des chats. Pelage du destin pencha lentement sa tête vers la petite pour la mettre à sa hauteur.

Elle entendit le rire, et tourna la tête. La vue de la chatte super grande la surprit. Immense. Et pas de son Clan. De quoi se méfier, avait dit Etoile Cendrée une semaine plus tôt. Alors, fronçant des sourcils, elle tenta de grogner contre l'inconnue, sans succès. Cette dernière s'approcha, et happa la petite dans sa gueule, la soulevant de terre. Cette dernière protesta, jusqu'à ce que la femelle la repose au sol, plus loin. Elle observa avec inquiétude et émerveillement la vague qui aurait pu la souffler. Un coup d'oeil à sa sauveuse, et elle tente de bouder. Impossible. Naïve comme elle est, elle se fie déjà complètement à cette jolie inconnue.

*Elle ressemble à Maman, en plus ..*

Cette pensée lui amena les larmes aux yeux, mais elle se força à ne pas pleurer. Elle était grande maintenant, plus question de faire des crises. Enfin, si, un peu. Mais pas souvent. Puis là, elle essuya ses larmes d'une patte, et hocha la tête

"Oui .."

Un air piteux, et cette phrase qui résonne dans sa tête. "Tu es seule ?". Evidemment. Encore plus qu'elle ne pouvait le penser .. Plus seule que n'importe qui de son âge, parait il. C'est celle qui a eu le moins de chance. Perdre ses deux parents d'un coup, c'est difficile. Mais elle les avait peu connus. Quelques images vagues, lui reviennent seulement en mémoire, sinon rien. Le déchirement aurait été pire, si commis à cet instant. La vague recula, alors que Flocon l'avait fixée longuement. Croyant à des pouvoirs surnaturels de sa part, elle gonfla le poitrail, et courut derrière la vague d'un air victorieux.

"Ahaha ! Tu n'as pas pu résister à mon super regard qui tue !"

La prétentieuse remballa sa fierté lorsque la vague revint, encore plus grosse. Elle courut très vite pour éviter l'eau, et se rassit, soufflant fort, non loin de la solitaire.

"Traîtresse."

Leçon numéro deux : L'eau est incontrolable

La chatte eu un rire, mais quand la petite s'approcha de la vague, Pelage eu un regard inquiet. Elle observa chacun des pas de la petite. Puis elle s'approcha près d'elle pour creusé un trou. Creusant à toute allure, elle attendrait surement la prochaine vague pour que le trou se remplisse.

-Tu sais, les vagues n'ont pas de vie réel, elle ne font que répondre au vent... Mais si tu es assez perspicace, tu sauras comment la dompté.

Le trou d'eau se remplis alors.

-Mais tu dois te méfier! Même si tu peux la dompté, elle pourra toujours faire de toi sa proie.

La chatte fit alors un sourire à la petite.

-Chaque élément de cette terre possède une manière différente de marché. Pour bien comprendre, tu dois prendre le temps

Elle pencha alors sa tête.

-De l'apprivoiser pour mieux la comprendre.

Posant sa patte dans le trou d'eau, une ondulation se produit alors comme si seulement d'une patte, l'on pouvait changer quelque chose.

-S'il te plaît, fait moi plaisir et dit moi d'où tu viens?

Souriant amicalement, elle allait savoir enfin si la petite lui faisait confiance. Mais il est vrai, qu'ici, sur les terres des chats, la guerre faisait toujours rage. Elle espérait vraiment que pour une fois, quelqu'un allait être là pour écouté ses sages conseils.

Flocon de Neige tourna la tête vers la solitaire lorsque celle ci se mit à parler. Elle écouta, attentivement, le regard immense et innocent de chaton planté dans celui de la belle chatte. Elle ne comprenait pas pourquoi le trou creusé à deux pas d'eux.

"Le vent ? Mais oui .. C'est pour ça, que ça bouge ! Ils se battent !"

Elle mélangeait les lois physiques et le fait que le Clan de la Rivière et le Clan du Vent ne s'entendaient jamais. C'était vrai, surtout qu'ils se combattaient tout le temps ici, voulant tous les deux ce territoire qu'ils jugeaient être dédiés à leur Clan. Mais entre l'eau et le vent qui se chevauchent sur la plage, ils n'arrivaient pas bien à départager les limites de leurs territoires respectifs. Voila pourquoi ce lieu est désormais dangereux. Tous les deux le veulent. Et tous les deux se battent régulièrement ici pour l'obtenir. Ce fut la voix de Pelage du Destin qui fit revenir Flocon à la réalité. Elle battit des paupières, et regarda le trou se remplir. Ok, elle avait pigé. Elle le signifia à sa coéquipière d'un mouvement de tête approbateur. Un soupir s'échappa de sa petite bouche

"Ben ouais mais les vagues elles veulent pas que je les apprivoise !"

Elle fit la moue, boudant sans retenue, fixant les vagues meurtrières qui léchaient presque le bout de ses pattes. Pouah, c'était quoi ce monde de tarés ? La patte qui fit des ondulations la fit sourire. Triomphante, elle donna un coup de patte rageur dans le trou, et laissa l'eau gicler sur la chatte à la patience extrème. Là, Flocon éclata de rire, devant la tête de Pelage du Destin. Elle eut du mal à se calmer, mais la chatte lui posa une question. C'est donc calme qu'elle chercha une réponse.

"Ben je viens de .."

Elle allait dire là bas, en désignant l'endroit d'où elle venait d'apparaître, sauf que chaque grain de sable, chaque touffe d'herbe se ressemblait. En gros, elle était complètement paumée. Alors, paniquée, roulant des yeux fous, elle pleurnicha

"J'sais pluuus !"

La chatte fit alors un sourire à la réaction de la petite et dit tout bas.

-Mais à l'intérieur de la rivière, il y a aussi un monde...

Puis elle regarda la petite pleurniché et comme une mère, délicatement, elle essaya de posé sa patte sur son dos. Mais avant de le faire, elle arrêta vivement de peur d'effrayer la petite. Pour ainsi la dérangé, elle donna alors un coup de museau doux sur la tête de la petite. Puis elle lui fit un sourire.

-Tu sais, à force de voyager, je connais les endroits et les clans. Quelle clan est tu et je conduirai sur les limites de ton paysage.

Tout en riant, Pelage se mise alors à sautillé un peu plus loin de l'eau. Comme une personne avec beaucoup de représentation théâtrale... elle se mise à jouer la comédie, son ton de vois frisant le ridicule.

-L'eau n'est pas doptable... je l'avoue, mais elle est amusante, quand elle se prend pour la mère de tous. Mais...

Elle approcha lentement de la petite en jouant le jeux, comme si elle représentait l'eau...

-Elle peut venir, s'apporcher de toi... et bondir pour t'emmener très loin.

Reprenant alors la petite par la peau du cou, elle la transporta sur un rocher.

-Ho grande reine des eaux, vous ne pourriez pas calmé votre création... Ou vous êtes tout simplement fâcher... Grogner... grogner... et vous verrez peut-être que vous trouverez sur le bord de l'eau, un cadeau offert par votre amie la mer.

La chatte eu un rire, toute cette distraction avait pour but de faire oublier à la petite son chagrin. Dès quelle se sentirait mieux, les deux compagnon pourrait repartir à la recherche de son chez sois, pour la mettre en sécurité.

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